Les syndicat se plaignent déjà de l’absence d’un volet social dans le Grand Emprunt National que s’apprete à lancer l’Etat. En effet, suite à l’annonce des grande priorités de cet emprunt, un olé général commence à se faire entendre sur certaines absences. Même si aucune décision définitive n’a encore été annoncée, un malaise semble naitre au sein des syndicats. Le président Sarkozy annoncera ses décisions sur le montant et les modalités du grand emprunt début décembre à la fin des consultations.
Le président Nicolas Sarkozy a reçu les partenaires sociaux mercredi 25 novembre ,dans le cadre du grand emprunt que l’état veut lancer en 2010. Le chef de l’Etat consultait les syndicats et le patronat avant d’annoncer ses décisions sur le montant et les modalités du grand emprunt « dans les premiers jours » de décembre. Le Premier ministre Francois Fillon devait, dans le même temps, recevoir les « representants des forces politiques ».
Or, au sortir de la réunion avec le président de la République, les principales organisations syndicales, si elles ont affiché leur division sur le grand emprunt, ont insisté d’une seule voix sur « l’absence de dimension » sociale. Se voulant rassurant, Nicolas Sarkozy leur « a rappelé que l’effort de modernisation et de préparation de l’avenir engagé grâce au grand emprunt ne se ferait pas au détriment des politiques sociales et des investissements déjà decides dans les infrastructures ».
Les ministres des Relations sociales Xavier Darcos et du Budget Eric Woerth ont reçu en octobre les secrétaires généraux de la CFDT, de FO ainsi que les présidents de la CFE-CGC et de la CFTC pour aborder les priorités à définir, dans le cadre des consultations engagées par le gouvernement. La CGT avait alors decide de boycotter cette consultation. Les syndicats avaient mis l’accent sur le risque d’aggravation de l’endettement pour la France. Francois Chérèque avait mis en avant deux priorités, le développement durable et la protection de la planete. Jean-Claude Mailly y avait ajouté le financement du fonds de réserve des retraites, et Bernard van Craeynest la rénovation des maisons de retraite.
Les organisations patronales ont également été reçues en octobre. Elles avaient alors appelé à agir avec prudence afin d’éviter que l’opération n’aggrave davantage les finances publiques. Le critère prioritaire pour Selectionner les projets financés par le futur grand emprunt doit etre « la rentabilité » et « le retour sur investissement », avait alors estimé la présidente du Medef, Laurence Parisot. La Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME) avait également mis en avant ses priorités: marches du futur, santé, éco-responsabilité, éducation, dématérialisation des échanges… L’Union professionnelle artisanale (UPA) avait de son côté rappelé qu’elle n’était pas « spécialement demandeuse » d’un grand emprunt et émis le souhait de manier « prudemment » ce dispositif pour ne pas aggraver davantage les comptes de la France.
Investir pour l’avenir
La commission Juppé-Rocard a remis jeudi dernier son rapport intitulé « investir pour l’avenir » dans lequel elle propose un investissement public « tourné vers l’innovation » de 35 milliards d’euros dans sept « priorités stratégiques », dont près de la moitié pour l’enseignement supérieur et la recherche. Lors de son entretien avec les membres de la commission, Nicolas Sarkozy a rappelé que les investissements proposés devaient etre « additionnels et sélectifs » et faire l’objet « d’une évaluation préalable systématique ». Il a également souligné que cet emprunt devait « s’inscrire dans une stratégie de consolidation des finances publiques qui sera mise en Å“uvre dès que la reprise sera installée ». « Cette stratégie donnera la priorité à l’investissement avec pour contrepartie une forte maîtrise des dépenses courantes » et ces investissements « devront donner lieu à la constitution d’un actif à mettre en regard de l’emprunt », selon la présidence.
« Celui qui n’appliquera pas de nouveaux remèdes doit s’attendre à de nouveaux maux ; car le temps est le plus grand des innovateurs » Bacon.
« La folie, c’est de se comporter de la même manière et s’attendre à un Resultat différent
La connaissance s’acquiert par l’expérience, tout le reste n’est que de l’information
La bureaucratie réalise la mort de toute action » Einstein
« Innover, ce n’est pas avoir une nouvelle idée mais arrêter d’avoir une vieille idée » Land.
« Entreprendre consiste à changer un ordre existant » Schumpeter.
Le choix des bénéficiaires du grand emprunt est confié à des bureaucrates (tels que OSEO) ayant plongés notre pays dans la déchéance économique depuis + de 50 ans, inexpérimentés tant en créations d’entreprises qu’en innovations, avec de vieilles idées, ils ne veulent surtout pas changer l’ordre existant qui leur assure depuis trop longtemps une rente juteuse, prime honteuse à leur incompétence que nous subissons au travers de la crise actuelle.
Ne faudrait il pas stopper HS47 avec ses bêtises ? Nous avons assez soucis comme cela sans l’on ai besoin de lire de tels absurdités.